Arrivée vierge au mariage, opposée farouche à l'interruption volontaire du miracle divin s'opérant dans les ventres maternels, elle a donné cinq beaux enfants à son mari.
Femme au foyer dévouée, mère de famille à plein temps, elle ne compte pas ses heures offertes au service de la maisonnée. Encore moins les nuits supplémentaires à parfaire son rôle d'amante auprès de son conjoint très épris. Elle ne revendique que le droit d'aimer son époux et sa progéniture.
Heureuse de sa condition, son plus grand bonheur sur Terre est de confectionner des repas pour les siens, du mieux qu'elle le peut.
Très attachée à l'honnêteté liée à son sexe et à son statut, elle tire une réelle fierté d'être ce qu'elle est : l'incarnation de la dignité, de la vertu et de la grandeur.
Dans l'humilité de son quotidien simple et glorieux, son âme s'illumine et adresse au Ciel des flots de bénédictions pour toutes les grâces reçues ici-bas.
Pour toutes ces raisons elle est raillée, ridiculisée, détestée, criminalisée par les suffragettes, les progressistes, les gauchistes. C'est à dire celles qui se prétendent "émancipées" sous prétexte qu'elles ont adopté le modèle exactement contraire : la déstructuration sexuelle, affective, morale, psychologique, sociale, les dérèglements les plus délirants de la pensée, des moeurs, de l'intelligence.
Ces sinistres représentantes de la déprime, de la névrose, du néant, se croyant à la pointe de la modernité, en réalité se situent au dernier échelon de l'involution humaine.
Elles ignorent le bonheur à côté duquel elles passent en se privant volontairement de cette richesse, de cette lumière sacrée consistant à vivre non pas dans les ténèbres de la folie féministe mais sous le soleil de leur vraie nature féminine.
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