samedi 14 septembre 2024

4 - La pourriture de gauche

L'adepte de toutes les inversions aime remettre en question les évidences.
 
Il s'ingénie à dénigrer l'oeuvre divine et à vouloir souiller les lois cosmiques. Il s'évertue à ébranler l'harmonie terrestre et à en nier l'origine céleste. Il prend plaisir à tenter de détruire les ordres les plus sacrés de notre monde, à dérégler les mécanismes subtils et élevés de la beauté.
 
Parce que les règles du jeu de la Création lui déplaisent fondamentalement, il veut les remplacer par les siennes, aberrantes, délirantes, perverses.
 
Et plus son nouvel échiquier sera tordu, hideux, corrompu, plus il le trouvera juste, bon, normal.
 
Et tout ça au nom de la tolérance, de l'humanisme, du progrès, de l'ouverture d'esprit.
 
La pourriture de gauche ne supporte pas qu'un homme soit un homme, qu'une femme soit une femme, que le ciel soit bleu et que les étoiles illuminent la nuit.
 
Non, cette engeance  préfère la lumière de l'enfer, l'eau trouble du mensonge, les pluies d'excréments et les châteaux de cendres.
 
L'infection mélenchonienne affectionne le faux, le laid, le grotesque.
 
La vie pour cette putridité de haut vol n'est qu'une immense négation de l'Univers, une erreur du Cosmos, un trou inutile issu du néant.
 
Et ce disciple de la dégradation se complaît ainsi dans ses vastes absurdités, allant jusqu'à s'affubler de signes vestimentaires distinctifs ridicules, à se grimer en clowns et à arborer des cheveux rose fluo pour mieux coller à ses sottises idéologiques...
 
La charogne progressiste ne craint nullement l'indécence, l'impudeur, le déshonneur. Au contraire, elle les cherche, les cultive, s'en glorifie !
 
Elle se drape dans la merde, tire fierté de se rouler dans la fange, se réclame de l'ordure. A ses yeux toutes les choses que les gens sains considèrent comme des puanteurs morales sont bonnes à prendre car elles alimentent avantageusement son âme très impure.
 
Ce qui fait la spécificité de l'immondice gauchiste, c'est que ses critères, ses valeurs, ses moeurs, ses aspirations, ses goûts sont exactement ceux des porcs.

Parfaitement étrangère au sentiment de honte, la putréfaction gauchiasse n'adore qu'un dieu : son propre groin plongé dans le fumier des pensées retournées.

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